L’autonomie alimentaire, ça se cultive ensemble!
Les enjeux agricoles et forestiers relevant du gouvernement canadien sont nombreux et déterminants pour l’avenir de l’agriculture d’ici. L’Union a donc annoncé, dès le déclenchement des élections fédérales à la mi-août, qu’elle entendait porter à l’attention des candidats les conditions essentielles à l’atteinte du plein potentiel de l’agriculture et de la foresterie privée d’ici, et ce, tout au long de la campagne électorale.
L’autonomie alimentaire est un projet de société fortement mobilisant qui suscite l’adhésion d’une très grande majorité de citoyens, surtout depuis le début de la pandémie. Le gouvernement canadien doit donner suite à cette volonté populaire, clairement exprimée lors du Dialogue sur l’autonomie alimentaire en 2020, et favoriser la compétitivité des entreprises agricoles et forestières de chez nous.
– Marcel Groleau, président général de l’Union.
L’UPA a proposé chaque semaine un thème sur lequel cette grande discussion touchant l’agriculture et la foresterie devait porter, en l’occurrence les outils de gestion des risques, l’agroenvironnement, la main-d’œuvre, les relations commerciales et la fiscalité. Ces enjeux ont fait l’objet de plusieurs communications dans les médias traditionnels et sociaux.
Les 1er et 3 septembre, le conseil général élargi de l’Union s’est aussi entretenu avec Marie-Claude Bibeau, ministre sortante de l’Agriculture, Yves-François Blanchet, chef du Bloc québécois, Erin O’Toole, chef du Parti conservateur du Canada, Annamie Paul, cheffe du Parti vert du Canada, et Ruth Ellen Brosseau, candidate du Nouveau Parti démocratique du Canada.